
(Nicolas Lecaussin dans IREF du 28/08/22)
Les phénomènes climatiques nous paraissent de plus en plus violents. Les images sont violentes et le bombardement médiatique est permanent. Quand on voit que les températures (très) élevées touchent la plupart des pays, l’inquiétude grandit. Pourtant, les données sur plusieurs années devraient nous rassurer. Une étude détaillée prouve que les phénomènes extrêmes ne sont pas plus fréquents aujourd’hui que dans le passé. Le graphique ci-dessous montre la surface des régions dans le monde victimes d’une grave sécheresse durant la période 1901-2017. On voit nettement que, pendant cette période de 116 ans, leur surface n’a pas augmenté. Au contraire, on constate même une certaine diminution des régions touchées par une grave sécheresse.
D’ailleurs, même le GIEC soutient « qu’il y a peu de preuves dans l’attribution à l’influence humaine des changements de la sécheresse sur les superficies terrestres mondiales depuis le milieu du XXe siècle » (GIEC 2013a, 871). Car la sécheresse a probablement augmenté en Méditerranée et en Afrique de l’Ouest et probablement diminué dans le centre de l’Amérique du Nord et le nord-ouest de l’Australie depuis 1950 » (GIEC 2013a, 50).
Une réponse
Voilà une vérité que les spécialistes subventionnés pour vous faire peur ne vous diront pas… La terre est en perpétuelle changement et les humains doivent analyser ces changements en toute honnêteté, afin de s’y adapter le plus efficacement possible, et sans tomber dans l’infantilisme et la culpabilité nourri par le wokisme vert qui se place en situation de profiteur illégitime.
Denis Gaumond, Montréal.