Résumé
La tendance mondiale au verdissement, marquée par une augmentation significative de la couverture végétale dans toutes les écorégions, attire une grande attention. Cependant, même des méthodes traditionnelles robustes négligent souvent des facteurs cruciaux tels que la corrélation sérielle, l’autocorrélation spatiale et les tests multiples, en particulier dans les données maillées spatialement. Cet oubli peut entraîner une importance gonflée des tendances spatio-temporelles détectées.
Pour répondre à ces limites, cette recherche introduit le flux de travail des tendances significatives (TST), qui améliore l’approche conventionnelle.
En utilisant les données AVHRR NDVI sur 42 ans (1982-2023), nous avons découvert que le flux de travail conventionnel (TST) identifiait jusqu’à 50,96 % de la surface terrestre terrestre de la Terre comme présentant des tendances statistiquement significatives de la végétation.
En revanche, le flux de travail TST a réduit ce flux à 38,16 %, filtrant effectivement les tendances parasites et fournissant une évaluation plus précise.
Parmi ces tendances significatives identifiées à l’aide du flux de travail TST, 76,07 % ont indiqué un verdissement, tandis que 23,93 % ont indiqué un brunissement. Le verdissement a représenté 85,43 % des tendances significatives, le brunissement représentant les 14,57 % restants.
2 réponses
Et pour les non spécialistes, qu’est-ce que ça veut dire?
Une traduction (ou vulgarisation) est nécessaire si vous voulez être compris par une majorité des lecteurs de ce site.
Discuter de l’approche c’est bien, aboutir à des enseignements, c’est mieux. On comprend que la Terre verdit. On s’en doutait avec l’augmentation du CO2, mais encore? Quid des « poumons de la planète »? Quid du rendement des céréales, utiles pour nourrir 10 milliards d’habitants, le problème autrement plus grave que le misérable réchauffement climatique en comparaison de l’holocène?