Des milliers de Californiens ont perdu leur maison dans les flammes. Le danger n’est pas encore écarté. Il est difficile de respirer. Des gens sont morts dans les cendres de leur rêve américain.
Pour les personnes de bonne conscience, l’heure est à l’empathie, à la prière et à toute l’aide nécessaire pour assurer la sécurité des survivants, les aider à reconstruire et améliorer la capacité des gouvernements à prévenir et à réagir à l’avenir.
Pour les kleptocrates et les idéologues du climat, chaque crise est une occasion d’accroître leur richesse et leur pouvoir.
Les défenseurs du climat « militent pour chaque événement météorologique », a déclaré Marc Morano, du CFACT, à la radio.
L’« attribution » bidon est devenue l’arme favorite des militants réchauffistes du climat. Chaque fois qu’un événement météorologique tragique se produit, les médias reprennent les affirmations des militants selon lesquelles le changement climatique rend les conditions météorologiques extrêmes « plus probables ».
Jusqu’à quel point ?
Si les médias faisaient leur travail, les journalistes vérifieraient ces affirmations en posant la question suivante :
« Quelle est l’importance de l’impact du changement climatique sur cet événement ? »
Cela obligerait les militants à admettre que l’impact est minime, voire inexistant. En particulier, si une analyse contradictoire était incluse de manière équitable.
Nous avons publié une explication du prodige des données Chris Martz sur CFACT.org.
« Pour un marteau, dit le proverbe, tout ressemble à un clou. »
Pour le sénateur socialiste Bernie Sanders, tout ressemble à un prétexte pour étendre le pouvoir du gouvernement.
Sanders, comme on pouvait s’y attendre, s’est jeté sur X, a attribué les incendies au climat et a exigé que
« Donald Trump traite cette situation comme la crise existentielle qu’elle est »,
c’est-à-dire qu’il se soumette au régime climatique de l’ONU.
Chris Martz ne s’est pas laissé faire.
« Bonjour Colonel Sanders ». a tweeté Chris. « Vous aimez les faits ? J’espère que oui, parce que vous êtes sur le point d’être licencié avec certains d’entre eux ».
Regardez la mise à sac épique qui s’ensuivit. Chris a exposé les données météorologiques historiques et précises, en s’appuyant sur la littérature scientifique de référence sur la Californie, les incendies et le climat.
En résumé, les vents de Santa Ana soufflent fort chaque année. Les incendies passés ont été presque tous attribués à des causes humaines, et non à la façon dont vous utilisez l’énergie. Les lignes électriques tombées sont souvent à blâmer, ainsi que d’autres accidents et les incendies criminels – qui ne sont pas du tout des accidents.
La série d’incendies actuelle s’est transformée en un véritable fourneau lorsque les vents de Santa Ana ont atteint la force d’un ouragan au moment même où les incendies se déclaraient. Aucune éolienne, aucun panneau solaire, aucun véhicule électrique n’aurait pu sauver la situation.
Une meilleure gestion des forêts, de l’eau et des situations d’urgence aurait pu les minimiser et aurait certainement atténué leur impact.
Les Pacific Palisades ont déjà brûlé par le passé. C’est historiquement normal. Ce qui est nouveau, ce sont les milliards de dollars de développement qui ont été réalisés depuis la dernière fois.
Quel aurait été l’impact d’un gouvernement plus efficace et plus intelligent ? Très important.
Priez pour ceux qui ont perdu leur vie et leur maison.
Prêtez-leur votre main.
Agissez pour que la Californie soit mieux préparée la prochaine fois.
Pour la nature et pour les gens aussi,
Une réponse
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