L’ONU, le GIEC et le Climat : Histoire d’une mystification

  • Pourquoi et comment L’ONU s’est saisie de la gouvernance climatique mondiale, moyens utilisés par le GIEC, falsifications et manipulations, rôle décisif de certains dirigeants politiques, remise à plat de la Gouvernance Climatique mondiale (interview de Guy BARBEY dans le “Libre Journal” de Radio Courtoisie du 28 février 2022)
  • L’envers du décor, une série de 6 articles donnant un tout autre éclairage sur ce que l’on peut lire habituellement sur le rôle de l’ONU et du GIEC, sur la façon dont la menace climatique a émergé tout en haut de l’agenda mondial, sur les ambiguïtés de la Convention Cadre de l’ONU (Rio, 1992), sur le grand marchandage financier planétaire et l’hégémonie politique de l’ONU, sur l’ardente obligation pour l’ONU et le GIEC de confirmer la culpabilité du CO2, et enfin sur la grande manipulation mondiale qui s’en est suivie.
  • La courbe de Mann, ressuscitée par le GIEC. On la croyait définitivement enterrée après les scandales scientifiques auxquels elle avait donné lieu. Mais on n’abandonne pas une technique qui marche.
  • La corrélation trompeuse entre le CO2 et la température, dans les carottages glaciaires de Vostok, sur plus de 400 000 ans, pour faire croire à la culpabilité du CO2, et donc de l’homme.
  • Le film d’Al Gore : “une vérité qui dérange” qui lui a servi à alerter le monde entier sur l’imminence d’une catastrophe climatique, en inventant toute une série de catastrophes imaginaires. Il faut savoir qu’Al Gore a lui-même reconnu depuis longtemps qu’il avait falsifié les données et les images de base de son film. Il a également falsifié les données présentées aux Sénateurs Américains (un jour bien choisi de canicule extrême) pour les convaincre du danger mortel imminent du réchauffement climatique. Enfin, pour couronner le tout, il a créé le marché extrêmement juteux des droits à polluer, dit le marché du carbone, copié sur celui des indulgences du Moyen Age, faisant de lui un nabab du climat. Il s’est d’ailleurs construit (comme d’autres illustres politiques, Barack Obama entre autres), une magnifique maison les pieds dans l’eau au bord du Pacifique, prouvant par là même qu’il ne croît pas lui-même aux catastrophes climatiques qu’il annonce. Al Gore n’est donc qu’un pitre et un dangereux charlatan, comme d’ailleurs les très nombreux autres profiteurs corrompus dans ce milieu peu recommandable.
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