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                      LA QUESTION CLIMATIQUE ET LA POLITIQUE ENERGETIQUE EN DEBAT

Le GIEC a publié le 9 août 2021 le « Résumé pour Décideurs » établi en conclusion des travaux scientifiques du Groupe de Travail N°1 (WG1), prémisse aux publications complémentaires prévues pour début 2022 sur les conséquences du réchauffement climatique en cours et les mesures à prendre pour y faire face (AR6 – 6éme « Assessment Report », en cours de finalisation).

Comme lors de chaque nouvelle publication, le GIEC fait état d’une situation climatique qui empire et d’un alarmisme toujours plus marqué, annonçant des catastrophes à venir de plus en plus terrifiantes.

Le GIEC confirme à cette occasion le contenu de l’Accord de Paris, approuvé à l’unanimité par les 175 pays signataires en 2015, conduisant à la condamnation du CO2 anthropique, l’ennemi public n° 1, à abattre par tous les moyens et de manière toujours plus accélérée.

A noter que la condamnation du CO2 anthropique ne fait plus l’objet d’une analyse critique sur le plan scientifique. La responsabilité  du CO2 est devenue  une vérité d’évangile, un dogme  auquel tous adhèrent les yeux fermés, sans le moindre questionnement, alors que les points d’interrogation restent très nombreux, comme exposé sur le présent site.

Notons aussi que les bienfaits du CO2 (nutriment essentiel des plantes ayant contribué depuis un siècle à un reverdissement significatif de la planète) sont largement ignorés par le GIEC qui a laissé se répandre l’idée fallacieuse que le CO2 est un polluant !

Cette condamnation implicite du CO2 va entrainer une transformation complète de nos modes de production, de transport, d’habitation, et de vie en nous faisant abandonner précipitamment les énergies fossiles, facteur décisif de notre prospérité actuelle, alors que les énergies renouvelables (éolien et solaire), malgré leur développement rapide au cours des années récentes, grâce à des subventions massives, n’ont pas la puissance ni la capacité de prendre le relais. L’énergie nucléaire pourrait contribuer à remplacer partiellement les énergies fossiles, mais elle fait l’objet d’un rejet systématique des écologistes, qui bloque son développement.

Cette politique onusienne va fortement affaiblir les économies développées et conduire irrémédiablement à la décroissance économique. La pandémie de la Covid a montré les effets désastreux de tout ralentissement économique, ce qui donne un avant-goût des difficultés insurmontables que poserait une décroissance économique mondiale durable.

Nous sommes donc à la croisée des chemins avec un horizon très chargé d’incertitudes, et il est non seulement légitime, mais même indispensable, de se poser les bonnes questions, comme le font de plus en plus de nombreux citoyens inquiets mais responsables.

Dans ce contexte, il est impératif

  • de chercher d’une part à évaluer si les thèses et les menaces à venir brandies péremptoirement par l’ONU en matière climatique sont bien réelles et suffisamment crédibles pour justifier de prendre le risque de tout bouleverser comme exposé ci-dessus,
  • de vérifier d’autre part si les orientations imposées par l’ONU en termes de politique énergétique correspondent à des objectifs réalistes et atteignables.

C’est à ce débat essentiel, qui a été largement étouffé par la position hégémonique occupée par la Pensée Unique dominante, régnant actuellement sur la majorité des Etats et des médias, ainsi qu’au sein d’une large part de l’Opinion Publique, que le site « climatetverite.net » est consacré.

Notons en effet que le GIEC, bras armé de l’ONU en matière climatique et énergétique, a conquis une position hégémonique sur ces questions, en prétendant, avoir réuni autour de ses thèses 97% des meilleurs scientifiques de la planète et en affirmant : « Climate Science is settled », ce qui revient à imposer la fin de la poursuite de tout débat scientifique ouvert aux opinions diverses, voire opposées.

Pour renforcer ce discours, le GIEC, organisme politique et non pas scientifique contrairement à ce qu’il affirme et à l’opinion couramment répandue, a mené une action systématique et parfois brutale pour faire taire toute contestation et museler toutes les voix scientifiques divergentes. D’une manière surprenante, cette stratégie, contraire aux « bonnes pratiques scientifiques » a été avalisée par de très nombreux scientifiques, ainsi que par les gouvernements et les médias, et en conséquence par une forte majorité de l’opinion publique. Chacun sait pourtant que la science ne progresse pas à coups de majorités, fussent-elles écrasantes, mais au contraire par le débat permanent, ouvert et contradictoire.

FOURNIR UNE INFORMATION OBJECTIVE ET DIVERSIFIEE

Sur un plan général, notre objectif à travers ce site est de fournir à nos lecteurs et visiteurs des éléments d’information et d’appréciation aussi objectifs que possible permettant à chacun de se forger sa propre opinion.  Il traite à la fois du climat et de l’énergie car la stigmatisation du CO2 a malencontreusement rendu la politique énergétique tributaire de la question climatique.

Conscients de la complexité des sujets, nous privilégions une approche pédagogique, avec des articles ouverts aux commentaires, et donc aux échanges, à condition qu’ils restent courtois et constructifs.

Ce site publiera également de nombreuses autres rubriques :

  • des recommandations en termes de livres, de vidéos, de sites
  • des interviews d’acteurs de premier plan sur les questions climatiques et énergétiques
  • des articles et des études d’origine française et étrangère
  • des espaces pour discuter de problématiques diverses et des liens avec le maximum de sites sur ces sujets.

Nous nous comprenons comme un acteur complémentaire et partenaire des nombreuses autres associations et des sites déjà actifs sur ces sujets ô combien cruciaux, avec une approche délibérément ouverte afin de favoriser le renouveau d’un débat qui a été largement étouffé par la position dominante de la Pensée Unique onusienne au cours des dernières années.

Nous constatons comme tout un chacun qu’il y a bien un réchauffement climatique en cours, mais tout en soulignant, comme le montrent les indicateurs officiels qu’il est modéré (environ 1°C depuis le début de l’ère industrielle) et qu’il ne dépasse pas à ce stade les variations naturelles enregistrées dans le passé.

Par ailleurs, de très nombreuses études scientifiques officielles, largement ignorées par le GIEC, montrent que le CO2 anthropique ne joue qu’un rôle réduit dans le réchauffement climatique en cours. Il est donc indispensable d’élargir le champ de vision sur ces sujets à l’ensemble des paramètres bien au-delà du seul CO2.

Enfin, nous sommes bien évidemment également très soucieux de la préservation de notre environnement et nous soutenons toutes les actions visant à le protéger. Toutes les formes de pollution, les problèmes de l’eau, des océans, de l’épuisement des ressources ou aussi de biodiversité sont des sujets, attribués sans doute à tort au seul réchauffement climatique, sur lesquels la clarté doit être faite. Le climat n’est pas responsable de tout.

Si les points de vue que nous exposons vous convainquent, nous vous proposons d’adhérer à notre association « Climat et Vérité » pour nous apporter votre soutien, ainsi qu’éventuellement votre concours (voir l’onglet « nous aider »).

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