Pour un nouveau débat

Six séries de questions, qui sont autant de points d’interrogations cruciaux, nous semblent devoir être prises en compte dans le cadre d’une évaluation des thèses promues par nos gouvernants sous l’égide des autorités onusiennes, ainsi que des pratiques qu’elles ont mises en œuvre.

1 –  Contrairement aux affirmations répétées généralement par des non scientifiques, comme Al Gore, et reprises par le GIEC, la science climatique est loin d’être « établie », et un « consensus » mesuré de façon artificielle n’y changera rien. Aucune science n’est « établie », en particulier celles qui, comme le climat, combinent de multiples disciplines complexes.
Il faut procéder à une nouvelle évaluation des thèses du GIEC dans le réchauffement climatique, en y associant les voix des scientifiques de toutes tendances, y compris celles qui sont en opposition avec les théories du GIEC (voir l’onglet Science & Modèles).

2 – L’organisation même du GIEC, sa genèse, sa charte (focalisée sur la culpabilité anthropique), son leadership, et ses pratiques interrogent sur son impartialité « scientifique » et politique (voir l’onglet « ONU & GIEC »).

3 – Contrairement aux affirmations répétées dans les médias, les conséquences du réchauffement climatique observées par les organisations spécialisées, depuis plus de 40 ans, n’ont, sur un plan général, rien d’alarmant. L’ours polaire se porte toujours très bien, et nous pourrions même respecter les Accords de Paris sans rien changer à nos habitudes. Les évènements extrêmes sont certes impressionnants, mais ils doivent être analysés avec beaucoup de précaution avant de pouvoir être déclarés la conséquence du réchauffement climatique (voir l’onglet « Faits & Observations »).

4 – Les préconisations onusiennes en matière de politique énergétique sont utopiques, irrationnelles, et conduisent à une impasse. Quant à l’étape finale de la « transition énergétique », elle n’a jamais été sérieusement ni définie ni chiffrée. En conséquence, nous naviguons en aveugles dans un univers énergétique futur totalement utopique, piloté par des manœuvres politiciennes et largement déconnectées des réalités. 
Dans un tel contexte, la transition énergétique accélérée exigée par l’ONU apparaît très risquée et tout à fait prématurée (voir l’onglet « Energie »).

5 – L’idéologie politique s’est emparée de la cause climatique, comme si notre un pays qui représente moins de 1% du CO2 mondial avait le pouvoir d’influer sur les politiques des pays en développement qui en constituent les principaux émetteurs. Et les médias institutionnels la relaient complaisamment (voir l’onglet « Politique & médias »).

6 – Dans ce contexte, chaque occasion est bonne, d’accroître l’alarmisme, pour propager des informations et images fausses, invérifiées ou invérifiables, de façon totalement irresponsable, qu’il s’agisse de politiques, de journalistes, ou de « climatologues » auto-proclamés (voir l’onglet « Fake news »).

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D’autres points d’interrogation vont sans doute émerger : nous leur donnerons l’attention qui doit leur revenir.

Nos concitoyens ont le droit de recevoir des réponses précises et documentées aux questions ainsi posées, dont les enjeux sont considérables.

Il est de l’intérêt de tous qu’un débat public ouvert et constructif ait effectivement lieu, où toutes les opinions et avis sont pris en compte, sur la base de toutes les informations disponibles, quelles qu’elles soient et sans ostracisme.

Nous lançons un appel aux acteurs au plus haut niveau dans notre pays, en prise directe avec la question climatique, afin qu’ils prennent du recul et qu’ils engagent une ré-évaluation de la situation réelle.

Les éléments d’information que nous apportons sur le présent site méritent un autre traitement que celui d’un dénigrement pur et simple.

La question climatique est d’une importance capitale. Elle ne doit pas être pilotée sous l’emprise d’une pression politique et médiatique artificielle, qui, en jouant d’une manière systématique sur la peur, conduit à supprimer au sein des décideurs et du grand public toute capacité d’analyse et d’évaluation objective ; c’est pourtant bien la situation dans laquelle nous sommes actuellement.

L’ONU poursuit son offensive victorieuse, pour faire appliquer l’ Accord de Paris, en ayant écrasé toute opposition sur son passage. En brandissant son prétendu « consensus », et ses « Assessments Reports » artificiellement avalisés par des milliers de signatures de scientifiques, l’ONU a entraîné l’adhésion des principaux décideurs de la planète.

La partie est- elle jouée définitivement pour autant ? NON !

Nous lançons auprès des principaux acteurs un appel au courage et à la lucidité pour que les voix de la raison et du bon sens puissent s’exprimer :

1° – Aux scientifiques, nous disons : un véritable débat scientifique doit être ré-ouvert qui prenne en cause toutes les thèses, y compris celles opposées à la Doxa dominante. C’est votre responsabilité directe de l’instituer.

2° – Aux politiques, nous disons : ne vous laissez pas entraîner par les théories dominantes, même si elles sont promues par la plus importante institution internationale, l’ONU, sans avoir fait procéder par des équipes indépendantes à un travail de validation des thèses qui vous sont présentées. Vous ne pouvez faire semblant d’ignorer les points d’interrogations que nous soulevons. La prochaine campagne pour l’élection présidentielle doit être l’occasion d’ouvrir ce débat essentiel.

3° – Aux médias, nous disons : votre responsabilité est immense. C’est vous qui avez la charge d’informer l’opinion publique. Nous vous invitons à exercer votre métier avec rigueur, à vérifier les informations que vous diffusez, à être attentifs à bien prendre en considération toutes les opinions existantes et à ne pas vous contenter de faires des « copier-coller » des dépêches qui vous sont adressées par les canaux institutionnels.

4°- Au public, nous disons : si les points de vue que nous exposons vous intéressent, nous vous proposons d’adhérer à notre association « Climat et Vérité » pour nous apporter votre soutien, ainsi qu’éventuellement votre concours (voir onglet « Nous aider »).

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