(Article de Nicolas Lecaussin initialement paru dans IREF du 15 Novembre 2021)
Les participants à la conférence de Glasgow ne sont pas arrivés à conclure un accord qui resterait dans les annales. Ils soutiennent que l’Apocalypse sur Terre à cause du climat est pour bientôt sans pour autant donner plus de précisions. Ils veulent plus de réglementations et plus de dépenses ainsi qu’un passage plus rapide vers les énergies vertes. Les délais ne sont pas clairs, les moyens non plus. L’Amérique de Biden jette l’argent par les fenêtres en annonçant 550 milliards de dollars de subventions pour l’énergie verte.
Le président Biden veut aussi réduire de moitié les émissions de CO2 d’ici 2030, année que la Chine a choisie pour… commencer ses réductions de CO2. Pour le moment, la Chine multiplie les centrales au charbon pour faire face aux besoins énergétiques.
Chaque chef d’État appelle à taxer et à réglementer encore plus la production de pétrole et de gaz et, en même temps, supplie les Saoudiens et les Russes d’augmenter la production de pétrole pour que les prix chutent.
Comme on ne connaît pas bien le jour de l’Apocalypse climatique, pourquoi ne pas faire cesser cette cacophonie en ayant simplement confiance dans les capacités de l’Homme à trouver des solutions ? Sans taxes, ni réglementations.