
Cette COP, comme les précédentes, se termine en queue de poisson. Une énorme mascarade de plus, coûteuse et parfaitement inutile.
La thèse du RCA (Réchauffement Climatique Anthropique) n’a aucun fondement scientifique sérieux, et le GIEC est bien incapable de la prouver (ce n’est d’ailleurs même pas son rôle car il est fondé par construction sur cette affirmation non scientifique) :
- Cette thèse repose en effet sur des modèles invalides et incomplets car incapables de reproduire correctement le réchauffement depuis 1850, ainsi que des données manipulées à la hausse, au prétexte de corrections, toujours dans le même sens.
- Elle est étayée par la fameuse courbe de Mann en “crosse de hockey” qui n’est qu’une vulgaire manipulation statistique, démontée depuis 15 ans (cf. rapport Wegman).
- A +0.12°C par décennie depuis 25 ans, les mesures satellitaires montrent un réchauffement au moins 2 fois plus faible que prévu par les modèles.
- Le fameux effet de serre est à 90% dû à la vapeur d’eau et aux nuages. Ce sont l’évaporation et la convection qui sont les régulateurs du système climatique. Plus ça chauffe, plus ça régule, et aucun emballement n’est possible.
- Le CO2, majoritairement d’origine naturelle, ne contribue qu’aux 10% restants
- Les changements climatiques sont très majoritairement gouvernés par des cycles naturels, notamment océaniques ou solaires, mais aussi astronomiques (cycles de Milankovic).
- Il y a eu dans le passé, sans que l’homme puisse en être incriminé, des périodes comparables voire plus chaudes que l’actuelle:
- Dans les années 30
- Lors de l’optimum médiéval il y a 1000 ans, romain il y a 2000 ans, et minoen il y a 3000 ans, sans parler d’Öthzie il y a 5000 ans
- Au début du précédent interglaciaire il y a 125000 ans
- La concentration de CO2 a déjà atteint dans l’histoire des valeurs 5 à 20 fois supérieures à l’actuelle (420ppmv) sans que les températures aient notablement et dangereusement divergé, ni que la vie ait été menacée.
Dans ce contexte, le GIEC (émanation de l’ONU totalement infiltrée par les écologistes radicaux et déclinistes) a perdu toute crédibilité à force de nous balader depuis plus de 30 ans,
- En affichant régulièrement un réchauffement artificiellement amplifié d’un facteur 3, par rapport aux mesures des thermomètres et des satellites.
Cf. propos du Pr Morel, fondateur et ancien directeur du Labo de Météorologie Dynamique, selon lesquels deux tiers du réchauffement correspond à des corrections et non aux mesures, - En occultant le fait que ce réchauffement n’est pas continu mais entrecoupé de longues périodes de refroidissement (1880-1910 puis 1940-1970) ou de fort ralentissement, voire de palier (depuis 1997), ce que les modèles sont incapables de reproduire et encore moins d’expliquer,
- En tentant d’effacer les périodes plus chaudes que l’optimum contemporain, malgré l’absence d’influence anthropique (voir ci-dessus),
- En basant ses prévisions et conclusions alarmistes sur des modèles incomplets qu’il sait n’avoir jamais été validés, et des hypothèses d’émissions très exagérées et improbables,
- En laissant entendre, afin d’effrayer la population, que les évènements météorologiques extrêmes vont se multiplier alors que toutes les observations infirment ces insinuations. A titre d’exemple, aucune recrudescence ni aucune tendance n’est observée dans l’activité cyclonique, que ce soit en intensité ou en fréquence.
Il est plus qu’urgent de stopper cette débauche inutile de milliers de milliards d’euros et d’en réaffecter une partie à des causes bien plus utiles et importantes, qui ne manquent pas. Le reste servira à rembourser nos dettes astronomiques.