Les modèles du GIEC sont à côté de la plaque selon une étude

Le Dr John CHRISTY est depuis des décennies une voix convaincante dans le débat sur le changement climatique.

Il est professeur émérite de sciences atmosphériques et également directeur du Earth System Science Center de l’université d’Alabama à Huntsville.

Il a été nommé climatologue de l’État de l’ Alabama en 2000.

Il a reçu la médaille de la NASA pour son développement d’un ensemble de données de température mondiale à partir de satellites : les fameuses courbes UAH.

Il a également reçu le “Prix spécial” de l’American Meteorological Society.

CHRISTY, qui s’est autoproclamé “geek du climat”, a développé un désir inébranlable de comprendre le temps et le climat à l’âge de 10 ans, et reste aussi dévoué à la compréhension du système climatique à ce jour.

Les docteurs John CHRISTY et son collègue Roy SPENCER de la NASA sont responsables du programme UAH et tiennent à jour la courbe associée :

À l’aide d’ensembles de données construits de toutes pièces, Christy et d’autres scientifiques, dont son collègue Roy Spencer, de la NASA, ont testé les théories générées par les modèles climatiques (ceux mis en avant par le GIEC) afin de déterminer dans quelle mesure elles correspondent à la réalité.

Rappelons qu’un modèle qui n’arrive pas à prévoir la réalité est un modèle à jeter à la poubelle.

Leurs conclusions ?
En moyenne, les derniers modèles de la couche profonde de l’atmosphère se réchauffent environ deux fois trop vite, ce qui donne une représentation profondément erronée et irréaliste du climat réel.

Il n’y a que les manipulateurs profitant de la manne des taxes CO2 ou du business des éoliennes pour continuer à mettre en avant des modèles aussi erronés.

C’est aussi ce que le GIEC fait dans ses rapports.

Profitons-en pour une petite aparté sur le GIEC qui vous fera passer pour un complotiste auprès des gens qui sont encore “dans la matrice” :

Rappelons que le GIEC est un organisme politique au service de l’ONU comportant 98 membres, et qui ne sont pas des scientifiques.
Il est temps de sortir de la matrice et de réaliser que le GIEC ce ne sont pas des milliers de scientifiques d’accord à 97% sur le dogme du CO2 qui expliquerait les changements climatiques.

Ces membres du GIEC piochent dans les publications scientifiques disponibles pour faire un rapport qu’ils publient ensuite.

Bien entendu, seules les études qui sont en accord avec la vision du GIEC (c’est-à-dire en accord avec le dogme du CO2 pilotant le climat) sont répertoriées dans ce rapport.

Le GIEC fait de la politique et ne vous veut pas que du bien.

Revenons à notre Dr John CHRISTY.

Dans cette interview (en anglais) publiée le 12 décembre 2022 sur Youtube,  Christy, qui ne reçoit aucun financement de l’industrie des combustibles fossiles, apporte des éclaircissements étayés par des données sur un grand nombre de questions, réfutant ainsi le récit de la crise climatique :

Parce qu’une image est parfois plus convaincante que des mots, voici une figure issue de l’étude du Dr CHRISTY qui montre clairement que les modèles (les points en rouge – entre +0,15°C et +0,35°C par décennie) sont à côté de la réalité (les points en bleu – plutôt +0,10°C/décennie) sur l’augmentation de la moyenne de la température mondiale par décennie :

L’étude du Dr John Christy est disponible ici (en anglais) : https://agupubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1029/2020EA001281

La figure 3 ci-dessus montre les tendances et les intervalles de confiance à 95 % en °C par décennie dans les 38 modèles climatiques individuels (rouge), la moyenne de l’ensemble des modèles climatiques (rouge épais) et les trois séries d’observation moyennes (respectivement, radiosondages, réanalyse et satellites, bleu épais).
La ligne bleue pointillée indique le niveau de la tendance des satellites. Les différences de disponibilité des données conduisent à des combinaisons de séries d’observation quelque peu différentes.
Pour les données de sonde, la moyenne inclut RAOBCORE, RICH et RATPAC dans toutes les spécifications et inclut en plus UNSW dans les couches MT (globales et tropicales).
La moyenne des données de réanalyse utilise ERA-I, ERA5, JRA55 et MERRA2 pour la couche LT globale et les couches LT et MT topiques et utilise ERA5, JRA55 et MERRA2 pour la couche MT globale. La moyenne des données satellitaires utilise UAH et RSS pour les couches globales LT et MT et pour les couches topiques LT et utilise en plus NOAA et UW pour les couches tropicales MT.

La transition énergétique est le résultat des politiques anti-CO2.
Ces politiques sont fondées sur des mensonges.
Le CO2 ne pilote pas le climat, le taux de CO2 actuel a déjà été bien plus élevé dans l’histoire de la planète, et le réchauffement climatique actuel n’est ni problématique et surtout il est loin d’être rapide (+1°C en 150 ans), et il n’est pas “sans précédent” contrairement à des précédents connus, violents et vraiment rapides (+5 °C en 30 à 40 ans) : les événements de Dansgaard-Oeschger.


Merci au Docteur John CHRISTY de révéler une partie de la réalité climatique.

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