Les alarmistes l’avaient présenté comme un mois record, du fait des « canicules » soi-disant exceptionnelles.
La réalité est là : +0,01°C par rapport à mai : waouh !
(Ref. : https://www.drroyspencer.com/)
Pour mémoire, le Dr Roy Spencer est le directeur des mesures par satellites à la NASA.
Une réponse
En fait on était à +0,18 en avril, +0,37 en mai pour +0,38 en juin. C’est donc l’ensemble mai/juin qui constituerait un petit pic. La presse se trompe (et nous trompe) en ne parlant que de juin. De plus juin 2023 a été plusieurs fois dépassé depuis 2016, et même en 1998.
En moyenne on est bien stable depuis 2016. Reste à savoir combien de temps va durer ce palier. Est-il possible que notre palier chaud actuel soit la résultante des cycles très actifs 21, 22, 23 de 1975 à 2005, avec dix ans de temps de retard environ, comme le suggèrent certains observateurs qui ont noté qu’un cycle actif n’entraîne pas une montée immédiate de la température mais une augmentation différée suite à des phénomènes complexes ? Dans cette hypothèse, est-il envisageable que le cumul des cycles 24, 25, 26 (2010-2040) nettement moins actifs entraînent une baisse générale vers 2050 ?
Voir les cycles par exemple ici :
Progression du cycle solaire | Centre de prévision météorologique spatiale NOAA / NWS