(par @Europeaniste dans IREF du
Alors que la Chine elle-même reste le principal émetteur de CO2 de la planète et n’a aucune intention sérieuse de réduire ses émissions, l’ONU continue à promouvoir, via le GIEC, son organisation spécialisée et sous des appellations euphémistiques telles que « transition écologique » et « développement durable », des mots d’ordre liberticides pour l’Occident qui est pourtant infiniment plus vertueux en termes de respect de la nature. L’anticapitalisme et donc, en réalité, le marxisme sont à la manoeuvre sous les atours « écologiques » et « scientifiques » d’un terrorisme intellectuel onusien, relayé par tous les partis politiques collectivistes occidentaux, visant à nous convaincre que nous sommes coupables par avance d’une prochaine apocalypse et que nous devons littéralement nous suicider dans un malthusianisme écologique forcené pour sauver le reste de l’humanité, implicitement décrété innocent et vertueux.
Les objectifs de la plupart des plans gouvernementaux établis selon ces décrets onusiens sont largement irréalisables et il apparaît même manifeste que leur application, à supposer qu’elle puisse être matériellement poursuivie, ne permettrait pas réellement de parvenir à une alternative crédible au modèle productif actuel, ni de remédier au « désastre » planétaire annoncé. Il faut davantage y voir une naïve plongée de l’Occident dans le piège décroissantiste de la Chine et de ses alliés (à commencer par la Russie), dont le but est de nous affaiblir pour parvenir à nous détruire et/ou nous dominer.
Pourtant, des voix s’élèvent mais elles sont vouées aux gémonies par le néo-puritanisme climatique, aussi officiel qu’abondamment subventionné. Ces voix opposent à l’idéologie alarmiste des arguments scientifiques de poids. Nos gouvernements sauront-ils les écouter et rejeter l’imposture du discours officiels ? Il faut l’espérer. Faute de quoi, la route de la servitude « climatique » contribuera à nous mener à la défaite et à l’enfer collectiviste, sous la férule de maîtres dont l’Histoire nous enseigne l’absence totale de considération pour les valeurs de notre civilisation.