Une interview édifiante de Samuel Furfari, professeur en géopolitique de l’énergie depuis 20 ans, docteur en Sciences appliquées (ULB), ingénieur polytechnicien (ULB). Il a été durant trente-six ans haut fonctionnaire à la Direction générale de l’énergie de la Commission européenne. Auteur de 18 livres.
2 réponses
Je ne vais même pas écouter Furfari , car c’est un homme intelligent
Le titre de cet article est provocateur, car le pétrole sera utilisé jusqu’à la dernière goutte , comme le gaz d’ailleurs jusqu’à la dernière bulle et même le charbon jusqu’à la dernière pelletée , d’ailleurs les Allemands ont commencé
L’arnaque de l’hydrogène montre bien l’effondrement de l’intelligence et de la connaissance scientifique de nos politiques et même de certains industriels ; mais cela ne se passe qu’en Europe
La question du choix de l’énergie pour satisfaire la fonction indispensable des transports est une question de logistique. Il nous faut une énergie de densité massique et volumique forte et utilisable dans des conditions de sécurité optimums. Elle existe, ce sont les carburants actuels encore imbattables sur ce terrain. Des installations de production de carburants de synthèses résolvent la question par des techniques connues en utilisant le CO2 et l’eau (Puisque certains le craignent) en passant par le méthanol ou l’acide formique (Voies chimiques) ou en passant par des microalgues (Voies biologiques) L’énergie de base nécessaire viendrait évidemment de l’énergie nucléaire la seule capable de faire face à l’augmentation de la demande.