Agissons : défendons une recherche libre !

« En France, on n’a pas de pétrole, mais on a des idées ! ». Vraiment ? 

Les idéologies du moment (wokisme, écologie radicale, théorie du genre, décolonialisme, décroissance…) imposent une chappe de plomb sur le débat d’idées ; les chercheurs qui s’en affranchissent sont systématiquement attaqués, leurs travaux mis à l’index. Quant à leurs carrières, elles deviennent un parcours d’obstacles fait de brimades, d’annulations et de financements impossibles. Florence Bergeaud-Blacker, une anthropologue chargée de recherche au CNRS, en a récemment été victime. Pour avoir publié un livre très documenté sur la pénétration des frères musulmans dans l’enseignement supérieur français, elle a subi une véritable cabale, y compris de certains de ses collègues, l’obligeant désormais à vivre sous protection policière. Scandaleux !

Désormais, c’est à l’Université que se forge le nouveau « politiquement correct », dont on a souvent sous-estimé l’influence. Ce n’est, malheureusement, pas parce qu’une idée semble ridicule qu’elle ne se diffusera pas. Au contraire ! Des générations d’étudiants ont ainsi appris à se méfier de la Science et des innovations technologiques (forcément à la solde du capitalisme), à considérer la décroissance comme le seul horizon possible, à estimer que notre Histoire, tout comme l’ensemble de notre patrimoine littéraire et culturel, devait être nécessairement « déconstruit », que la police était par nature raciste et violente, que la théorie du genre devait supplanter la biologie…

Et pourtant, face aux épreuves que traverse notre pays (montée de l’insécurité, immigration incontrôlée, désindustrialisation, menaces sur notre agriculture…), aux nouvelles tensions géopolitiques et aux enjeux liés aux questions environnementales, nous n’avons jamais eu autant besoin de nouvelles idées et d’une recherche libre et affranchie de ce scientifiquement correct. 

Depuis plusieurs années, le CERU, le labo d’idées universitaire permet à des universitaires reconnus, comme à de jeunes chercheurs de faire connaître leurs travaux, de partager leurs analyses et leurs solutions auprès des décideurs comme du grand public. 

Certains de nos contributeurs se sont ainsi particulièrement illustrés, comme l’ancien magistrat Charles Prats qui a réussi à imposer la question de la fraude sociale dans le débat public, ou Philippe Fontana qui a démontré le dévoiement du droit d’asile par des ONG militantes, ou Olivier Vial qui fut le premier à souligner les risques liés aux thérapies de transitions de genre chez les enfants et adolescents, ou encore le Pr. Costentin, de l’Académie de Pharmacie, dont le combat contre la banalisation des drogues a été constant…

Le CERU s’est également particulièrement investi dans l’étude et l’analyse des mouvements radicaux qu’ils soient woke ou issus de l’écologie politique. Nous avons ainsi été les premiers à documenter la montée des actions de sabotages et à dénoncer le recours à la violence politique (black-blocs, mouvements antifas…). 

Pour poursuivre notre action, nous avons besoin de votre soutien. Avec cette rentrée, nos projets sont nombreux :

  • Un colloque est en préparation pour analyser les ressorts idéologiques et les origines de la haine anti-police.
  • une série de notes sur les principaux mouvements et courants de la gauche radicale va également être publiée dans le cadre de notre programme sur les « RadicalitéS ».
  • un nouvel axe de recherche et de publication consacré à l’écologie des solutions sera également lancé. Notre objectif : faire entendre une autre voix face aux catastrophistes et promouvoir ceux qui ont des solutions face au défi climatique et environnemental (meilleure gestion de l’eau, développement de l’énergie nucléaire, biotechnologies…)

 

Mais pour tout cela nous avons besoin de vous. Nous dépendons exclusivement de votre générosité. Aidez-nous à poursuivre notre combat, aidez-nous à soutenir les jeunes chercheurs les plus courageux, aidez-nous à chercher et à faire connaître les solutions dont notre pays à besoin. 

En soutenant le CERU, vous nous permettez de :

  • donner la parole à des experts, parmi les plus légitimes dans leur domaine, 
  • produire et diffuser des études et analyses sur tous les sujets de société importants,
  • diffuser les tribunes de nos contributeurs dans les principaux médias français,
  • organiser des rencontres ouvertes au public pour informer et permettre un vrai débat d’idées,
  • multiplier des actions de lobbying, envois de courriers, déplacements, contacts avec les parlementaires, les pouvoirs publics et autres décisionnaires, pour faire bouger les lignes.

 

Chaque don est important. 66% du montant de votre don au profit du CERU peuvent être déduits de votre impôt sur le revenu dans la limite de 20% de votre revenu imposable. 

En espérant pouvoir compter sur votre soutien, 

 

Pr. Morgane Daury-Fauveau

Présidente du CERU

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