L’histoire avance rapidement.
Une bataille majeure se prépare dans le monde occidental sur le principe fondamental de la liberté d’expression. Nos droits à la liberté d’expression n’ont jamais été aussi fragiles.
En pleine nuit, en France, une nouvelle loi a été adoptée par l’Assemblée nationale, qui considère comme un délit le fait de critiquer les injections d’ARNm. Les critiques l’appellent la loi Pfizer. Elle prévoit des amendes pouvant aller jusqu’à 45.000 euros et éventuellement trois ans de prison.
Comme dans tous les pays occidentaux, les critiques à l’encontre de la plateforme mRNA font l’objet d’une vaste censure.
Plutôt que de reculer face au scepticisme de certains quant à l’efficacité et l’innocuité de ces vaccins, les gouvernements, piégés par les intérêts pharmaceutiques, prennent fait et cause pour les entreprises et les Big Techs en menaçant d’emprisonnement toute personne qui s’exprime ouvertement contre elles.
C’est logique. Après tout, la censure permet d’influer sur l’esprit du public afin d’étouffer toute opposition au régime. Lorsque les médias traditionnels s’effondrent et que de nouveaux médias se développent, l’étape suivante consiste à aller criminaliser l’opinion, comme le fait tout gouvernement totalitaire.
La politique aujourd’hui est planétaire. Les élites qui ont pris le contrôle de nos gouvernements se coordonnent au-delà des frontières.
En second lieu, un article important de la rubrique opinion du New York Times, se réjouit qu’une affaire de diffamation ait aboutie. Michael Mann, professeur à l’université de Pennsylvanie a poursuivi un rédacteur de l’Institut Competitive Enterprise auquel il reproche d’avoir contesté son modèle de changement climatique, notamment ce que l’on appelle la crosse de hockey.
Ce n’est pas du domaine de tout le monde, mais il semble évident que la science climatique dominante devrait elle-aussi faire l’objet d’une critique vigoureuse. Si l’ère Covid nous a appris quelque chose, c’est que le « consensus scientifique » peut être complètement faux.
La diffamation consiste à dire que les propos tenus ont cherché à mentir délibérément dans l’intention de nuire. On pourrait penser que peu de choses peuvent être qualifiées de la sorte, et certainement pas la critique d’un modèle climatique.
Pour l’essentiel, ce verdict criminalise l’hyperbole, a déclaré l’avocat de la défense.
L’auteur de l’article d’opinion, quant à lui, estime qu’il s’agit d’une question de justice. « Notre récente victoire en première instance pourrait avoir des implications plus larges », déclare-t-il. « Elle a tracé une ligne dans le sable. Les scientifiques savent désormais qu’ils peuvent répondre aux attaques en intentant un procès pour diffamation ». Il mentionne en particulier les personnes qui ne sont pas d’accord avec le consensus Covid ou qui ont fait de fausses déclarations sur les effets néfastes des éoliennes sur la santé.
Vous imaginez ? Critiquer une éolienne ou une pandémie et se retrouver devant un juge !
Il est terrifiant de penser à ce que cela implique. Et l’auteur de l’article ne laisse rien à l’imagination. Il considère cette affaire comme un moyen de rendre la critique scientifique de n’importe quel domaine de la vie – des vaccins au changement climatique en passant par la transition vers les véhicules électriques – essentiellement illégale. En tout cas, si ce n’est pas le cas, il s’en rapproche en érigeant tellement de mines terrestres que les critiques vont se taire de peur de voir leur vie détruite.
Cette affaire a duré dix ans. Comment est-il possible que des plaideurs fassent durer une affaire aussi longtemps ? Il s’agit d’établir un précédent sérieux. Ce précédent est désormais clairement établi. La définition de la diffamation est tellement malléable que les jurys peuvent décider de tout. La seule perspective d’être traîné devant un juge pendant plus de dix ans suffit à dissuader les gens de s’exprimer.
La censure fonctionne lorsque le gouvernement peut contrôler tous les canaux de distribution de l’information. Et quand ce n’est plus le cas ? Les pouvoirs peuvent utiliser des méthodes plus directes.
Nombreux sont ceux qui se réjouissent de voir disparaître les médias traditionnels. C’est certainement mon cas, mais réfléchissez à la façon dont les censeurs vont réagir. Ils deviennent plus durs et utilisent davantage les tribunaux de justice. C’est l’avenir qui nous attend et il est extrêmement dangereux. Selon cette trajectoire, la liberté d’expression est appelée à disparaître.
2 réponses
Et pourtant la courbe en crosse de hockey est une pure escroquerie. Elle est plate dans le manche de la crosse, imaginée au doigt mouillé, jusqu’au XIXe siècle pour faire ressortir une “augmentation de la température depuis l’âge industriel” dans la lame de la crosse. Plus fiables sont les mesures faites par carottage dans les glaces du Groenland (projet GISP2) basées sur la méthode du thermomètre isotopique, d’où il ressort que sur ces 10000 dernières années il y a eu plusieurs optimums (Romain, Moyen-âge, Green Land) et que la moyenne générale est de 2°C environ supérieure à la référence du GIEC, et que donc, avec 1°C de plus, nous ne sommes qu’à mi-chemin d’un retour à la “normale”. Pas de quoi en faire un tel pataquès ! La vraie crosse de hockey a en fait une drôle de forme, peu propice à jouer une partie…
Cette affaire est grave. On n’a plus le droit de contester la science officielle. Ce qui est contraire par définition à l’esprit scientifique (il n’y a pas de vérité scientifique, la science évolue en permanence…). L’idéologie prend le pas sur la science et les intimidations prennent le pas sur la liberté d’expression. C’est une tendance générale chez les « élites » mondiales (autoproclamées) qui savent mieux que le bon peuple ce qui est bon pour lui (en fait bon pour le clan élitiste qui s’accroche au pouvoir, c’est vrai aussi chez nous). Les mondialistes et européistes ne tiennent plus compte de l’avis des peuples. Ces derniers sont condamnés à accepter la pensée dominante. On nous fait peur pour mieux nous dominer. On nous a fait peur avec la couche d’ozone, avec la Covid, alors qu’avec le recul on voit que la vérité d’un semestre, n’était plus celle du semestre suivant. On nous fait peur avec le climat (les écolos y sont les idiots utiles). Et si la peur climatique ne marche pas, Wonder-la-hyène a dit qu’on passerait à la lutte contre la « désinformation », entendez la chasse aux dissidents de la pensée unique. Il est grand temps de réagir contre cette dérive techno-totalitaire. Qu’est-ce qu’on nous prépare ensuite ? Un nouveau virus XXL? Une invasion extraterrestre ? L’explosion du Yellowstone ? L’approche d’une comète ou la chute d’un astéroïde ? Une sécheresse catastrophique ? Les paris sont ouverts. Heureusement le CO2 est en augmentation ce qui va nous permettre de passer le cap des 10 milliards de têtes sur Terre, le VRAI problème de « la planète ».