Ecologisme et radicalité, la Nature passe-t-elle avant l’Humain?
Une analyse par Samuel Furfari
Table des matières
- L’écologisme nous a envahis
- Les théoriciens de l’écologisme
- L’écologie refuse le progrès
- L’écologie punitive : un pléonasme
- Défendre le vivant au détriment de l’Homme
- Les illusions écologiques
- Un nouvel esprit politique
- L’intouchable nature ?
- Réenchanter le monde … par l’animisme
- Le joug Mondial
- Écologisme ou avenir de l’UE
Il règne une certaine confusion dans l’esprit des gens en ce qui concerne les notions de pollution, d’environnement, d’écologie et d’écologisme. La pollution est avant tout une nuisance pour notre santé qu’il faut combattre avec détermination. J’y ai consacré 40 ans de ma vie professionnelle. En écartant les risques de pollution, on protège l’environnement, ce qui est aussi indispensable. Là n’est donc pas la question.
Si l’écologie est une discipline scientifique qui étudie les relations du vivant à la nature, l’écologisme, par contre, est une doctrine idéologique qui prétend placer la nature au même niveau que lui — si pas au-dessus. Selon l’écologisme, l’homme n’a pas le droit d’exploiter la nature. Et pour imposer cette égalité homme-nature, il présente une solution : mettre fin au progrès qui a transformé en mieux la vie des gens depuis l’utilisation de l’énergie abondante et bon marché.
Le corollaire est la limitation de la population, d’où les horreurs proposées pour atteindre l’élimination progressive et indolore d’au moins la moitié de la population. Il faut reconnaitre que cela n’a plus rien à voir avec la pollution. C’est notamment la raison pour laquelle je ne parle plus d’environnementalistes, mais d’écologistes.
1 vol. 15 x 21
130 pages
Mai 2021