Message de CLINTEL aux dirigeants internationaux à l’occasion de la COP26

Nous reproduisons ci-dessous la traduction d’une lettre ouverte que CLINTEL a envoyée aux dirigeants.

  1. Les faits démontrent que le réchauffement climatique N’EST PAS catastrophique, et donc qu’IL N’Y A PAS DE CRISE CLIMATIQUE. Il convient donc de cesser de diffuser des messages alarmistes. La peur conduit toujours à de mauvaises décisions et, pire encore, fait beaucoup de mal aux plus jeunes. Inspirons plutôt les jeunes générations avec des perspectives positives !
  2. L’état général du climat nous indique qu’à long terme nous nous dirigeons doucement vers un prochain âge de glace, avec des hausses et des baisses intermédiaires. La sortie du Petit Âge Glaciaire a été très profitable, aussi bien pour l’Homme que pour la nature. Profitons de notre climat clément !
  3. Les données montrent aussi que les événements météorologiques extrêmes tels que les vagues de chaleur ou de froid, les sécheresses et les inondations, ou encore les ouragans et les tempêtes font partie intégrante du système climatique terrestre. Cessons donc de monter ceux-ci en épingle lorsqu’il ne s’agit que de promouvoir la peur au profit d’un agenda politique.
  4. Depuis déjà plusieurs décennies, les observations du monde réel ont établi que les modèles climatiques repris par le GIEC représentent très mal la situation. La réalité est que les changements dans les émissions de CO₂ ont un impact faible sur la météo et le climat terrestre. La réalité est aussi que la hausse du niveau marin est régulière et modeste depuis plusieurs siècles.
  5. Le CO₂ n’est pas un polluant. Il est au contraire essentiel à toute vie sur Terre. La photosynthèse est un immense bienfait. Davantage de CO₂ est profitable à la nature et fait verdir notre planète. Cela profite aussi à l’agriculture, en favorisant les récoltes du monde entier (figure 1), permettant ainsi de combattre ce fléau qu’est la faim dans le monde.
  6. L’Accord de Paris de 2015 n’est fondé que sur la peur et n’aura pour effet que d’appauvrir les nations à travers le monde. Plutôt que de le suivre, il convient à l’inverse de développer des plans régionaux concrets d’adaptation aux évolutions climatiques. Les politiques globales de réduction des émissions ont un coût exorbitant tout en n’ayant jamais sauvé la moindre vie. Les plans d’adaptation nationaux, eux, peuvent fonctionner indépendamment de ce qui cause les changements climatiques (figure 2).
  7. Les énergies solaire et éolienne ne pourront jouer qu’un rôle marginal dans la transition énergétique. L’usage d’énergies fossiles dans des centrales propres est essentiel, surtout dans les pays en développement. Il convient aussi de coopérer à l’échelle mondiale pour développer les centrales nucléaires du futur, ainsi que les technologies de stockage et de transport d’énergie. Là est le chemin de la prospérité pour tous. 
Clintel 1

Figure 1 : Le CO₂ n’est pas un polluant ! Évolution de la productivité agricole par hectare (source : FAO).

mortalité climat

Figure 2 : Les décès d’origine climatique ont chuté de 95 % au XXe siècle, grâce à l’accroissement de la prospérité globale. En détruisant les richesses, les politiques de réduction des émissions auront l’effet inverse.

Au nom des ambassadeurs de CLINTEL et des signataires de sa déclaration mondiale,

Dr Guus BERKHOUT

Professeur émérite de géophysique

Membre de l’Académie royale des sciences des Pays-Bas

Membre senior de l’Académie néerlandaise d’ingénierie

Nos articles sont généralement publiés sous licence Creative Commons CC BY-NC-SA

Ils peuvent être reproduits sous la même licence, en en précisant la source, et à des fins non commerciales.

Laisser un commentaire

Les commentaires sont modérés avant d’être publiés, restez courtois.

Derniers commentaires :

Formulaire de contact

Recevoir la Newsletter hebdomadaire