Nous publions ici un début d’article du Figaro (il faut être abonné pour lire l’article complet)
ENQUÊTE – Depuis le 1er janvier, la mise en location des logements les plus énergivores est interdite. Face à l’obligation de rénovation, les bailleurs s’alarment.
Remplacer les fenêtres, isoler la toiture, changer la chaudière… Avec la loi climat et résilience, voilà les quelque 7 millions de propriétaires de passoires thermiques bien désemparés.
Depuis le 1er janvier, les logements classés G+ au titre du diagnostic de performance énergétique (DPE) – ceux qui consomment plus de 450 kWh/m² par an – sont interdits à la location.
En 2025, ce sera le tour de l’ensemble des logements G. Suivront les F en 2028, puis les E en 2034.
Alors, engager une coûteuse campagne de travaux ou bien vendre, quitte à subir une décote ? Si les propriétaires occupants ont encore quelques années pour réfléchir, les bailleurs sont dos au mur.
“Voilà comment transformer une bonne idée en catastrophe industrielle! résume Christophe Demerson, président de l’Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI). Un calendrier ultracourt, une pénurie de matériaux et un manque de main-d’œuvre ne peuvent qu’aboutir à des factures qui s’envolent. …”
2 réponses
Il va y avoir des locations illégales. La tiers-mondisation de la France est en marche.
Elle est même déjà bien avancée